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La toiture, les fenêtres, les murs sont souvent responsables d'importantes déperditions thermiques. Une mauvaise isolation est synonyme de gaspillage d'énergie, d'une consommation élevée de chauffage.
Choisir le bon matériau pour les fenêtres
Il existe trois grandes familles de fenêtres : en bois, en aluminium, en PVC. Chacune d'elles a des avantages et des inconvénients. La fenêtre en bois et en alu se distingue par sa finesse au niveau des finitions. En ce qui concerne le PVC, ce matériau est robuste, il s'entretient très facilement. Ce qui est essentiel, c'est le double voire le triple vitrage.
10 à 15% de déperditions thermiques passent par les fenêtres
Cela peut monter dans certains cas de grande insalubrité jusqu'à plus de 40%. Les fenêtres peuvent donc avoir un impact sur les consommations d'énergie. Ce sont actuellement les versions en aluminium et en PVC qui se vendent le mieux. Les Français sont de plus en plus exigeants quant au pouvoir isolant des ouvertures. Si vous souhaitez réaliser une rénovation énergétique de votre logement, il ne faut pas oublier les fenêtres. L'Etat a mis en place de nombreuses aides et subventions financières afin d'alléger la facture. Pour les fenêtres à double, à triple vitrage, il y a un crédit d'impôt de 30% sur le matériel, la prime énergétique, l'éco-prêt à taux zéro.
Les fenêtres de mauvaise qualité sont coûteuses
La facture de chauffage avoisine les 1700 euros par foyer en moyenne. Une somme qui peut très vite s'envoler lorsqu'il y a des déperditions d'énergie. Le vitrage thermique conserve la chaleur à l'intérieur de la maison. Il isole du froid extérieur, mais il laisse passer la lumière et la chaleur du soleil. Le PVC possède un excellent rapport qualité-prix. Il résiste aux intempéries, aux torsions, ce qui lui vaut une durée de vie de 50 ans en moyenne. Le remplacement des fenêtres est une solution parmi tant d'autres pour réduire la facture énergétique, favoriser le confort, préserver l'environnement.